Ce samedi 19 novembre, 12 marcheurs du club se sont retrouvés pour la sortie mensuelle de Novembre à Villers-Farlay.

Sur un parcours très plat (ça change de d'habitude), nous nous dirigeons vers les bords de la Loue, grossie par les précipitations des jours derniers.

Nous nous dirigeons vers la 1ère difficulté de la matinée : le franchissement d'arbres. 

Agréable surprise, les 2 arbres couchés sur le chemin ont été tronçonnés avant notre passage grâce à "Suricate".

En effet lors de la reconnaissance, nous avons fait un signalement à l'aide de cette application. Cette dernière permet de prévenir des soucis concernant le balisage, la signalétique, l'environnement etc...

Après 2 essais qui ont été résolus, l'affaire est plutôt concluante. Nous vous conseillons l'application pour vos sorties nature en cas de problème. Elle est à télécharger depuis la page d'accueil du site web ICI.

Bref, nous continuons notre périple mais un 2e obstacle se dresse à nous. Avec la montée des eaux, un passage près de la Loue se trouve inaccessible (surprenant car les pluies n'ont pas été diluviennes). Mais pas de souci, un autre chemin nous permet de contourner le problème et de retomber sur nos 4 pattes (2 jambes + 2 bâtons😉) et de poursuivre notre itinéraire.

Nous continuons notre sortie le long de la Loue avec un passage dans la Combe Ratton puis vers la Morte Foisse 😰 en direction de Chamblay.

Et hop 3e obstacle en vue. Cette fois-ci, il est question de la Larine, petit ruisseau discret, qui nous barre la route. Même équipés de chaussures Goretex, la traversée semble compromise 💦.

Cette fois-ci pas le choix, nous rebroussons chemin et à l'aide de la carte, nous modifions notre parcours.

S'ensuit une série de détours qui nous conduit à Écleux avant de prendre la direction finale vers notre point de départ.

Les hectomètres ne sont pourtant pas signe de relâchement car un 4e obstacle se dresse face à nous. Une taupinière géante 😅 obstrue le passage. Nous nous faufilons sur les bas-côtés alors que les plus téméraires graviront le monticule de graviers.

Au final, nous finissons à bon port avec un GPS qui affiche tout de même 12 km, malgré les encombres, et un dénivelé quasi-nul.

Que d'aventure et rien de mieux qu'un buffet des spécialités culinaires pour se ragaillardir.

Moralité de l'histoire, même avec reconnaissance, le sport en milieu naturel nous réserve toujours des surprises plus ou moins agréables.